Qu'est-ce que le trouble d'anxiété généralisée?

Qu'est-ce que le trouble d'anxiété généralisée?
À travers ce texte, apprenez-en davantage sur le trouble d'anxiété généralisée : ses caractéristiques, sa prévalence, un exemple d'intervention et plus encore.
Dans ce texte, nous vous présentons les caractéristiques du trouble d’anxiété généralisée (TAG), sa prévalence, des concepts qui y sont reliés ainsi qu’un exemple d’une intervention jugée efficace pour traiter ce trouble. Nous terminons par des suggestions sur la façon de se comporter pour vous aider dans votre rôle d’accompagnateur.
On définit le TAG comme étant une inquiétude excessive qui dure au moins depuis six mois et qui est difficile à contrôler. Au moins trois des six symptômes suivants sont présents pour diagnostiquer ce trouble1 :
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de l'agitation
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une fatigue injustifiée
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de la difficulté à se concentrer
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de l'irritabilité
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des tensions musculaires
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des problèmes de sommeil
Selon le psychologue Michel Dugas, spécialiste de l’étude de ce trouble, plusieurs de ces symptômes sont caractéristiques d’autres troubles anxieux. Seules les tensions musculaires seraient spécifiques au TAG2. Toujours selon ce psychologue, on pourrait qualifier le TAG de « trouble d’inquiétude généralisée » ou « phobie de l’incertitude » car l’élément central de ce trouble est l’hypersensibilité à l’incertitude. La personne croit qu’elle ne peut fonctionner si elle est incertaine, et cette incertitude lui empoisonne la vie, alors elle fait tout pour l’éviter. On pourrait donc parler d’intolérance à l’incertitude.
Il faut mentionner ici que l’évitement est central à tout trouble anxieux. Pour ce qui est du TAG, la personne essaie systématiquement d’éviter l’incertitude en adoptant des comportements visant à se faire rassurer : dans ses relations intimes, familiales et sociales, sur le plan de la santé et celle de ses proches, de la maladie et des accidents qui pourraient survenir pour soi et ses proches3.
Par exemple une mère qui s’inquiète qu’il arrive quelque chose de grave à sa fille pense, peut-être inconsciemment, que cette inquiétude peut l’aider à prévenir la situation. À ce moment, cette pensée provoque l’illusion qu’elle contrôle son environnement4.

Quelle est la prévalence du trouble d’anxiété généralisée?
Selon un document de Statistiques Québec5 en 2021, 8,4 % de la population québécoise de 12 ans et plus avait reçu un diagnostic de trouble d’anxiété. Le taux pour les femmes était près de deux fois plus élevé que les hommes (10,8 % c. 5,9 %).
Quant au TAG, selon un récent rapport de Statistique Canada6 sa prévalence est le plus élevé chez les jeunes femmes âgées de 15 à 24 ans. Le taux est passé de 3,8 % en 2012 à 11,9 % en 2022 chez ce groupe. Il faut noter que de deux à trois fois plus de femmes que d’hommes présentent ce trouble mais que sa prévalence diminue avec l’âge, et l’écart entre les hommes et les femmes n’est plus significatif à partir de 65 ans.
Pourquoi s’inquiéter?
Il existe une fonction, c’est-à-dire une utilité à s’inquiéter qui correspond à une stratégie d’adaptation. En effet, l’inquiétude est caractérisée par une appréhension et des préoccupations vis-à-vis du futur ainsi qu’une prise de conscience des signaux physiologiques qui les accompagnent7 (qui peuvent ressembler à une attaque de panique). S’inquiéter devient à ce moment utile pour éviter les images et les réactions physiologiques associées à l’anxiété. Si l’inquiétude permet d’éviter ces images et réactions, ceci amène les personnes anxieuses à réutiliser cette stratégie qui est efficace à court terme, mais qui, à long terme, contribue au maintien de l’anxiété.
Il faut dire qu’il est assez noble de s’inquiéter. Cela reflète des attitudes d’empathie et de compassion. Une des explications d’ailleurs du plus haut taux de TAG chez les femmes, c’est qu’elles ont été socialisées à veiller davantage sur leur progéniture.

C’est important de souligner que l’inquiétude est une expérience humaine fondamentale, tout le monde s’inquiète.
Mais ce qui est caractéristique des personnes qui présentent un TAG, c’est de s’inquiéter pour des choses mineures, et le font plus que des personnes présentant d’autres troubles anxieux8. En effet, 91 % des personnes vivant avec ce trouble se font des soucis excessifs par rapport à des événements anodins9. Il faut ajouter que s’imaginer des scénarios catastrophes peut être très épuisant.
Les thèmes les plus communs d’inquiétude sont :
- la famille
- les relations interpersonnelles
- la santé
- le travail
En général les personnes consultent un médecin généraliste pour des symptômes physiques reliés à l’épuisement ou à d’autres problèmes de santé. Même si les tests médicaux sont négatifs, elles peuvent continuer de s’inquiéter quand même. Ce trouble occasionne une diminution importante de la qualité de vie et la personne rapporte avoir de la difficulté à vivre le moment présent.
Comment déterminer si une personne a un trouble d’anxiété généralisée?
Une des questions clés pour déterminer si une personne présente un TAG est de lui demander : « Lorsque tout va bien, est-ce que vous vous inquiétez que les choses changent? ». Une autre façon de le déterminer : on constate une inquiétude plus marquée pour les autres que pour ses propres problèmes de santé contrairement aux personnes hypocondriaques. Comme mentionné plus haut, s’inquiéter est fonctionnel (elle a une utilité) et c’est le propre de personnes empathiques, centrées sur les autres de le faire. C’est lorsque l’inquiétude devient incontrôlable qu’elle est problématique, lorsque toutes sortes d’inquiétude apparaissent sans raison10.
Par exemple concernant la sécurité des enfants, les inquiétudes peuvent se traduire par une restriction excessive des activités permises ou par des contacts fréquents avec eux pour se rassurer. Le besoin de rassurance est d’ailleurs central à ce trouble ainsi qu’un sens des responsabilités aiguisé.
On peut, si on le souhaite, visiter le site Internet du centre de recherche du professeur Dugas pour avoir accès gratuitement à des questionnaires mesurant divers éléments reliés au trouble d’anxiété généralisée :

Comment peut-on traiter le trouble d’anxiété généralisée?
Étant donné que la personne qui vit avec ce trouble a beaucoup de difficulté à tolérer l’incertitude, un des objectifs est de l’aider à réévaluer les probabilités qu’un événement menaçant se produise. Par exemple celle qui craint de prendre l’avion évaluera la probabilité d’un écrasement à une sur 100 alors qu’elle est de 1 sur 5 millions, mais elle n’est pas nulle. Pour contrer cette peur, il ne sert à rien de lire sur le sujet, mais de changer ses réactions vis-à-vis de l’incertitude par l’action, c’est la stratégie la plus efficace11.
Une intervention prometteuse, qui a démontré son efficacité, consiste en la thérapie d’acceptation et d’engagement (ACT). Cette approche fait partie de la troisième vague des thérapies cognitives comportementales. Avant de donner un exemple spécifique pour ce trouble, voici les principes de cette thérapie, appuyés par les travaux de Neveu et Dionne12 ainsi que ceux de Rousseau13.
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L’acceptation
Ce principe vise à aider la personne à adopter une attitude d’ouverture face aux émotions et pensées inconfortables, plutôt que de chercher à les éviter. L’acceptation ne signifie pas résignation. C’est une démarche active guidée par un choix de faire une place aux expériences internes présentes.
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L’engagement
Une action orientée vers ses valeurs.
C’est le fait de s’exposer graduellement à ses expériences internes pour agir en fonction de ses valeurs. L’idée est de faire des choix basés sur ce qui donne sens à sa vie plutôt que de se battre contre la souffrance intérieure.
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La fusion cognitive
C’est le processus par lequel une personne adhère au sens littéral de sa pensée, c’est-à-dire qu’elle considère son contenu au pied de la lettre. Elle a tendance ainsi à tenir ses pensées pour vraies. Selon les tenants de l’ACT, les problèmes psychologiques sont liés en grande partie par la tendance à nous enchevêtrer dans nos pensées, en ne cherchant pas à les remettre en question.
Un exemple de fusion cognitive est une personne qui se dit, en commettant une erreur : « Je suis stupide », et qu’elle considère cette pensée comme un fait sans prendre conscience qu’il s’agit d’une évaluation arbitraire de sa personne14. Elle ne réalise peut-être pas que c’est lié à son éducation ou à d’autres facteurs environnementaux. Dans son enfance, s’est-elle fait traiter de « stupide » à chaque erreur commise?
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L’évitement expérientiel
Lorsque la personne fusionne avec ses pensées, cela peut la conduire à éviter ses expériences émotionnelles. Elle adopte alors des stratégies pour fuir les sensations désagréables qu’elle ressent (pensées, images, émotions). Selon les tenants de l’ACT, la souffrance psychologique provient de cet évitement, car il contribue à la maintenir. Comme le souligne Hayes : « Lorsque nous tentons de fuir une pensée, une sensation ou un sentiment douloureux, [ils deviennent plus importants et tendent] à se manifester plus souvent ou plus intensément (2013, p. 45)15. Mais en agissant ainsi « [ces] personnes [ont] tendance à consacrer beaucoup de temps, d’énergie et d’effort à supprimer leurs inquiétudes et leurs peurs, ou à les contrôler, et elles en arrivent ainsi à agir de moins en moins dans le sens de ce qui est important pour elles » (Rousseau, 2019, p. 29).
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La défusion cognitive
Ce processus consiste à se distancier de ses pensées envahissantes plutôt que de les prendre au pied de la lettre. L’objectif est de réduire l’emprise des pensées et de retrouver des comportements qui sont en accord avec ses valeurs. Par exemple, se détacher des pensées négatives comme « Il va forcément arriver quelque chose de terrible ». Un exemple concret pour faire cet exercice de défusion est de déterminer une pensée négative : « Je suis bonne à rien », de visualiser que cette pensée est écrite sur un nuage ou encore qu’elle est dans le wagon d’un train, de regarder le nuage ou le wagon s’éloigner avec la pensée.
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Le contact avec le moment présent
L’ACT encourage à se concentrer sur le présent, plutôt que de se perdre dans des regrets passés ou des inquiétudes futures. Il s'agit d’accueillir les pensées et émotions du moment, sans jugement et sans défense, et sans tenter d’en modifier la fréquence ou la forme.
Un exemple d’intervention16
Prenons l'exemple de Claire, une femme qui consulte parce qu’elle s'inquiète de tout : « Quand ça va mal, je m’inquiète, et quand ça va bien, je m’inquiète que ça change. » Ses principales préoccupations concernent sa relation de couple (elle craint que son conjoint ne l’aime plus, au point de lui demander plusieurs fois par jour s’il l’aime), sa santé (qui l’amène à consulter fréquemment des médecins), et la sécurité de son enfant (elle limite ses activités et garde un contact constant avec lui lorsqu'il sort de la maison). Face à ces peurs, Claire a constamment besoin d’être rassurée, ce qui traduit un évitement de l’incertitude.
Un certain degré d’inquiétude est normal dans toutes les situations, mais Claire essaie de l’éliminer complètement, ce qui est impossible. Pour l'aider, on utilise la méthode ACT qui l’encourage d'abord à accepter et à tolérer l'incertitude puis à réduire, voire éliminer, ses stratégies d’évitement, lesquelles alimentent un cercle vicieux qui la maintient dans ses peurs.
Concentrons-nous sur ses inquiétudes concernant la sécurité de son enfant17. Avant, elle restait au téléphone avec lui pendant tout le trajet jusqu’à chez un ami. Sa croyance sous-jacente était qu’elle ne pouvait pas tolérer de ne pas savoir s’il était en danger, et elle se rassurait en restant constamment en contact avec lui.
Pour l'aider à accepter l’inconfort lié à son inquiétude, on a appliqué ce que Dionne et Neveu (2010) nomment le désespoir créatif. Cela consiste à explorer les stratégies inefficaces qu'elle a utilisées pour gérer son anxiété. Claire a ainsi réalisé qu'une des conséquences importantes de ses actions était que ses inquiétudes augmentaient. En clarifiant ses valeurs en tant que parent, elle a pris conscience que son comportement nuisait à l’autonomie de son fils, ce qui allait à l’encontre de son désir d’être un bon parent.
Petit à petit, Claire a adopté un nouveau comportement : au lieu de rester en ligne tout le trajet, elle a demandé à son fils de l’appeler lorsqu'il arrivait chez son ami. Il est important de procéder par étapes, car sa peur était majeure. En respectant ses valeurs, Claire pourra progressivement abandonner ce besoin de sécurisation et permettre à son enfant de gagner en liberté et en indépendance.
Il est essentiel de noter qu'un certain inconfort est à prévoir lors de ce type d'expérience. Cet inconfort est un indicateur de succès en thérapie : c'est un signe que la personne est sur la bonne voie, car la motivation augmente avec l’action.
Pour les personnes intéressées à en savoir plus, il existe un manuel qui vulgarise cette approche qui est traduit en français :
Hayes, S. et S. Smith (2013). Penser moins pour être heureux. Ici et maintenant, accepter son passé, ses peurs et sa tristesse (trad. de l’américain par E. Plisson). Groupe Eyrolles, coll. Comprendre et agir.
Comment dois-je réagir?
Comme les personnes vivant avec ce trouble ont un besoin marqué d’être rassurées, ce qui représente une forme d’évitement à l’incertitude, vous pouvez leur dire après deux ou trois demandes que vous avez bien compris, en faisant attention de ne pas démontrer de la frustration en étant empathiques vis-à-vis de leur situation.
Pour soutenir votre être cher qui vit avec un TAG, voici quelques suggestions18 :
- Prendre le temps d’écouter activement votre être cher, et ce, sans jugement.
- Encourager à consulter un professionnel de la santé mentale habilité à traiter ce trouble pour obtenir un soutien approprié. N’oubliez pas que vous n’êtes pas, et ne devez pas devenir, le thérapeute de votre être cher.
- Proposer des activités relaxantes comme la marche, le yoga, la méditation, etc. Il est en effet démontré que ce type d’activités peut réduire l’anxiété.
- Offrir un soutien pratique avec des tâches quotidiennes qui peuvent sembler accablantes. Comme mentionné plus haut, cela peut éventuellement réduire leur sentiment de responsabilité aigu.
- Renforcer les progrès que vous constatez en félicitant votre être cher de chaque progrès réalisé, cela contribuera à améliorer son moral.
Voici quelques conseils pour changer la relation à la pensée (défusion cognitive) de Frédérick Dionne, psychologue spécialisé dans cette forme de thérapie19 :
- se rappeler que les pensées ne sont que des pensées, et non des faits
- ne pas chasser les pensées, car elles vont revenir, mais les accepter et leur faire une place
- écrire la pensée sur une feuille ou une carte ceci permettra de s’en distancier
- répéter la pensée plusieurs fois de suite et très rapidement, pendant 30 secondes, elle perdra ainsi de son sens
- chanter sa pensée (sur un air de votre choix), avec une voix aigue et ensuite grave, cela permet de la dédramatiser
- se demander si la pensée est utile, etc.
Que dois-je éviter de faire20?
- Ne pas minimiser ou encore dramatiser le problème. Dire que ce n’est pas grave, ou encore que la personne exagère, peut être blessant pour elle.
- Ne pas critiquer ou rejeter les sentiments de votre être cher, ce qui pourrait aggraver son anxiété.
- Ne pas lui dicter ce qui est à faire. Prodiguer des conseils non sollicités – ce qui est vrai pour n’importe quelle situation – sur ce que votre être cher devrait faire peut faire augmenter son anxiété.
- Éviter de faire la morale, ceci est contre-productif et ne fera qu’augmenter son sentiment de culpabilité.

Si votre être cher refuse de consulter un professionnel de la santé mentale, vous pouvez lui suggérer de joindre un groupe d’entraide comme un de ceux organisés par Phobies-Zéro qui offre des services axés sur l’anxiété dans plusieurs localités du Québec.
Il peut être difficile par moments de vivre avec une personne aux prises avec ce type de trouble, vous pouvez aller chercher de l’aide pour vous-même auprès d’un professionnel de la santé mentale, de votre famille ou d’amis, ou encore auprès de l’association dédiée aux proches de votre région, membre de CAP santé mentale.
Sources et notes
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1 American Psychiatric Association. (2022). Diagnostic and statistical manual of mental disorders. Text revision (DSM-5-TRTM) (5e éd.) https://doi.org/10.1176/appi.books.9780890425787
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2 Dugas, M. (2015, 29 octobre). Le traitement du trouble d’anxiété généralisée : les expériences comportementales pour l’intolérance à l’incertitude. Les Rendez-vous de la formation, Ordre des psychologues du Québec.
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3 Ibid.
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4 Cottraux, J. (2011). Trouble anxieux généralisé. Dans Les psychothérapies comportementales et cognitives (5e éd.). Elsevier Masson.
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6 Stephenson, E. (2023, 22 septembre). Regards sur la société canadienne. Troubles mentaux et accès aux soins de santé mentale. https://www150.statcan.gc.ca/n1/fr/pub/75-006-x/2023001/article/00011-fra.pdf?st=sbM26ams
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7 Rousseau, S. (2019). Évaluer l’efficacité de la thérapie d’acceptation et d’engagement pour le trouble d’anxiété généralisée : un protocole à cas unique [mémoire doctoral]. Université de Sherbrooke.
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8 Dugas, M., Giguère-Marchal, K., Cormier, S., Bouchard, S., Gouin, J.-P. et Shafran, R. (2023). Pain catastrophizing and worry about health in generalized anxiety disorder. Clinical Psychology & Psychotherapy, 30, 852-861.
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9 Cottraux (2011), op. cit.
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10 Dugas (2015). op.cit.
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11 Ibid.
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12 Neveu, C. et Dionne, F. (2010). La thérapie d’acceptation et d’engagement. Revue québécoise de psychologie, 31(3), 63-83.
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13 Rousseau (2019), op. cit.
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14 Neveu et Dionne (2010), op.cit.
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15 Hayes, S. et Smith, S. (2013). Penser moins pour être heureux. Ici et maintenant, accepter son passé, ses peurs et sa tristesse. Groupe Eyrolles, coll. Comprendre et agir.
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16 Cet exemple est inspiré de Dugas (2015), op.cit. et de Dionne, F. (2012, 25-27 octobre). Développer la flexibilité psychologique par la thérapie d’acceptation et d’engagement. Congrès de l’Ordre des psychologues du Québec.
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17 Nous ne traitons pas de toutes les étapes essentielles à toute forme de thérapie, par exemple de créer une alliance de travail, de planifier toutes les étapes avec la personne, mais sur quelques-unes des étapes à réaliser dans l’ACT, soit l’acceptation, l’engagement et sur l’action orientée vers les valeurs de la personne.
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18 Source : divers sites Internet sur le trouble d’anxiété généralisée dont Anxiety Canada et le site du gouvernement du Québec.
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19 Dionne, F. (2012, 25-27 octobre), op. cit.
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20 Source : site Internet du CIUSSS de la Mauricie-et-du-Centre-du-Québec.
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